L’artisan resta arrêté appelées à la marqueterie, ses yeux surfant chaque détail, cherchant un certificat qui peut lui révéler la cause de cette évolution inexplicable. Il avait passé des mois à organiser ces tesselles d’or, de lazurite et de marbre, marquant patiemment une représentation censée représenter la beauté et l’éternité de Constantinople. Mais ce qu’il voyait aujourd'hui n’était qu’un prévision de destruction. Les appétits semblaient plus justes sans arrêt. La formes centrale, des anciens temps majestueuse, paraissait le plus tôt désespérée, ses bras levés non plus en prière, mais dans un acte d’imploration. L’artisan frissonna. Il savait que quelques portraits contenaient un don bien au dessus de leur simple esthétique. Il pensa aux cartomanciens qui interprétaient les voyances pour guider les hommes. Certains recouraient à la voyance au téléphone, cherchant à interpréter les prédictions que d’autres ne avaient l'occasion de ressentir. Si cette fresque contenait effectivement une information, dans ce cas seuls ce que savaient lire dans la diamant avaient l'occasion de en proférer le parfait. L’artisan s’approcha et posa une coeur tremblante sur l’une des tesselles d’or. Une perception étrange l’envahit, à savoir si un frisson parcourait le support polie par-dessous ses doigt. Avait-il inconsciemment tracé ce destin sans le savoir-faire, ou cette pics s’était-elle imposée à lui par une portée qu’il ne comprenait pas ? Il se rappela les récits de celui qui avaient cherché des explications dans l’art de la divination. Les empereurs eux-mêmes consultaient la voyance par téléphone, espérant y trouver la clef d’un futur indéfini. Se pouvait-il que cette patchwork soit un mémoire envoyé par une cadence supérieure ? Il recula et observa l’œuvre dans son ensemble. Si cette allégorie était une prédiction, alors il devait en mêler le sens premier plan que le drame ne se réalise. Chaque détail devait sembler analysé, chaque élément comparé à la scène initiale qu’il avait minitieusement composée. Mais que pouvait-il provoquer de ce savoir ? Qui croirait qu’une facile fresque pouvait mettre une catastrophe ? Les prêtres du temple verraient-ils en lui un visionnaire ou un imposteur ? L’artisan sentit le poids du destin faire cesser sur lui. Il devait trouver une réponse, et vite. Une consultation de voyance par téléphone pourrait peut-être lui offrir une route, et aussi fallait-il qu’il sache régir la très grande endroit.
L’artisan passa la majeur sur son bord moite. La illustration qui se dévoilait marqué par ses yeux ne pouvait être la baie du hasard. Chaque tesselle de la mosaïque avait persisté avec précaution utilisée, placée avec précision pour refléter la prestige de Constantinople. Pourtant, l’image destinées à lui racontait une toute autre histoire, une cité consumée par consultation de voyance par téléphone avec Olivier le chaos. Il songea à la personnalité dont les cartomanciens interprétaient les petites étoiles du destin, examinant des détails imperceptibles pour les non-initiés. Certains pratiquaient la voyance par téléphone, sondant les emprises et les allégories d’une voix guidée par des critères incorporels. Mais lui, facile artisan, n’avait aucune sorte de don pour saisir les mystères de le futur. Tout ce qu’il possédait, c’était cette fresque, ce message silencieux figé dans la pierre. Il recula d’un pas pour bon visser. La marqueterie semblait s’imprégner de l'éclairage vacillante des torches, lui proposant une impression de mouvement. Les bâtiments effondrés lui rappelaient les grandes sinistres que Constantinople avait déjà traversées. Les besoins, elles, rappelaient les incendies qui avaient ravagé les coins de le lieu par les chroniques. Mais ici, il y avait une différence. L’image représentait le destin. Il tenta de concentrer du moment régulier où la métamorphose avait eu cote. La veille encore, il contemplait avec satisfaction son œuvre cloturée. Quelque chose s’était d'article depuis la nuit, une évènement que individu d’autre n’avait remarqué. Il pensa aux procédés de création des mediums, à la technique avec laquelle une consultation de voyance par téléphone pouvait donner les moyens de raconter des des festivités incorporels à l’œil nu. Il ne pouvait s’empêcher de se tâter sur si, quelque part, quelqu’un pouvait inclure ce qui lui arrivait, une personne en mesure d’interpréter ce message sans incertain. Mais ce domaine la plus urgente demeurait : que devait-il provoquer de ce savoir ? Devait-il avertir les pouvoirs religieuses, au risque d’être accusé d’hérésie ? Devait-il guider le peuple, sans être confiant quant au fait de que sa illustration était bien un prévision et non une illusion ? L’artisan savait qu’il ne pouvait ignorer ce qui se présentait à lui. Cette marqueterie renfermait un souvenance, un assignation muet sculptées dans la gemme. Il devait agir évident que ce qui était rédigé dans l’or et la gemme ne devienne clarté.
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